mercredi 12 janvier 2011

Vers l'au delà et l'infini... ment petit

Nikon D300s + Nikon 18-105 inversé. ISO 800, 1/60s
Paris, le 12/01/2011

Cela faisait longtemps que je n'avais pas fait joujou avec mon appareil, différents empêchements personnel m'ayant contraint à le laisser de coté.
On pourrait donc croire que je l'ai repris pour une petite balade dans le Pays des Merveilles, sans Alice, au milieu d'une forêt étrange... Que sont donc ces étranges arbres ayant préféré de la mousse aux feuilles, et une tige de caoutchouc blanc à un bon bois bien solide?
Nous ne sommes non pas au beau milieu d'un paysage sorti tout droit de la tête de Tim Burton, mais dans le monde des tous petits. Pas celui des microbes, mais celui de la macro-photographie.
Pour cette photo, je n'ai pas investi des milliers d'euros afin d'acquérir un objectif macro, mais j'ai utilisé une méthode "monsieur bricolage" : l'objectif inversé. Même si cela n'est pas très pratique, ça permet de faire de belles macros avec peu de moyen. Ici, deux anthères au bout de leurs étamines (en français : le pollen d'une fleur).
Voici quelques autres clichés pris au cours de ma petite séance, avec entre autre l'image de la fleur en question et une tête d'allumette.


dimanche 2 janvier 2011

Bonne année, bonne santé, bon appétit

Nikon D90 + Nikon 18-105 à 50mm, f/8, 1/250s, Iso 320
Ubud (Bali, Indonésie) le 15/09/2009

C'est avant une petite balade dans la forêt des singes, sur les hauteurs de Bali, que nous nous sommes attablés dans un petit bouiboui. Face à la rizière, je sortis mon appareil pour commencer à shooter tout ce que nous allions voir de l'île indonésienne, en débutant par notre premier vrai repas balinais.
Il faut avouer que je n'ai jamais réussit à prendre un plat ou une quelconque nourriture en photo, mis à part ce jour-ci. Je pense que le domaine très particulier de la photographie culinaire est l'un des plus compliqué à aborder, et je suis en admiration devant les professionnels qui en ont fait leur métier.
J'ai eu ici bizarrement beaucoup de chance car la profondeur de champs donne un rendu sympa, alors que mon ouverture ne le laissait pas présager. Cela est du à l'éloignement de l'arrière plan et à la relative fermeture de mon angle (50mm).
En espérant pouvoir reprendre une meilleure assiduité sur le blog, maintenant que les fêtes sont passées et que les repas bien digérés.